l y a des vérités que l’on ne découvre qu’en mouvement. Des révélations qui ne surgissent ni dans le confort d’un canapé, ni dans le calme d’une réflexion intellectuelle — mais dans l’effort brut, dans la sueur, dans le souffle court. Courir, ce n’est pas seulement avancer. C’est traverser. C’est affronter. C’est apprendre.
Car tôt ou tard, la fatigue s’invite. Elle ne demande pas la permission. Elle s’impose, comme un mur invisible. Et c’est là, précisément, que la course cesse d’être un simple sport pour devenir une école de vie.





